Communiqué du SNESUP et du SNCS envoyé à la presse.
Après sa délocalisation à Lyon, l'INRP est à nouveau en butte à des attaques visant à son démantèlement.
Le SNESUP et le SNCS affirment leur attachement au rôle dévolu à un institut national de recherche au service de la recherche en sciences de l’éducation et de tous les acteurs de l'éducation.
Les personnels de l'INRP ont exprimé leur volonté de le voir transformé en EPST, structure qui permettrait de mieux répondre à ses missions élargies, tout en conservant la maîtrise de sa politique scientifique.
L'INRP présente une originalité en associant des personnels de divers statuts sous la double tutelle du MESR et du MEN et accomplissant des missions de recherche, d’expertise et de médiation.
Le SNESUP et le SNCS dénoncent le risque d’abandon du Musée national de l'Education, d’éclatement de l'équipe « la Main à la Pâte », et de la disparition de services, notamment celui d'histoire de l'éducation.
Le SNESUP et le SNCS considèrent que la solution avancée d'intégration autoritaire comme institut de l'ENS de Lyon ne répond pas aux enjeux engageant le système éducatif. Une tout autre solution devrait allier les disciplines universitaires, leurs méthodologies et la recherche sur les pratiques sans opposition, ni juxtaposition.
Le SNESUP et le SNCS demandent donc que des négociations sur le devenir de l'INRP soient ouvertes, permettant notamment la définition concertée d’un projet scientifique pour l’institut et son inscription dans le paysage national et international de la recherche en Education.
Le SNESUP et le SNCS affirment leur attachement au rôle dévolu à un institut national de recherche au service de la recherche en sciences de l’éducation et de tous les acteurs de l'éducation.
Les personnels de l'INRP ont exprimé leur volonté de le voir transformé en EPST, structure qui permettrait de mieux répondre à ses missions élargies, tout en conservant la maîtrise de sa politique scientifique.
L'INRP présente une originalité en associant des personnels de divers statuts sous la double tutelle du MESR et du MEN et accomplissant des missions de recherche, d’expertise et de médiation.
Le SNESUP et le SNCS dénoncent le risque d’abandon du Musée national de l'Education, d’éclatement de l'équipe « la Main à la Pâte », et de la disparition de services, notamment celui d'histoire de l'éducation.
Le SNESUP et le SNCS considèrent que la solution avancée d'intégration autoritaire comme institut de l'ENS de Lyon ne répond pas aux enjeux engageant le système éducatif. Une tout autre solution devrait allier les disciplines universitaires, leurs méthodologies et la recherche sur les pratiques sans opposition, ni juxtaposition.
Le SNESUP et le SNCS demandent donc que des négociations sur le devenir de l'INRP soient ouvertes, permettant notamment la définition concertée d’un projet scientifique pour l’institut et son inscription dans le paysage national et international de la recherche en Education.
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